Loyer pour Späti Doubles: Kiez se bat pour recevoir une oasis populaire à Kreuzberg

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Ein Kiez kämpft um seinen Späti: Miete verdoppelt Von Hildburg Bruns Eine Demonstration findet in einem Kreuzberger Kiez statt, um den Erhalt eines beliebten Spätis zu fordern. Der Vermieter möchte die Miete verdoppeln, was für die Betreiber des kleinen Ladens mit 50 Quadratmetern Fläche unbezahlbar wäre. Auf den Stirn- und Brustbereichen der Demonstranten ist „Quicky-Markt – wir bleiben“ zu lesen. Der Quicky-Markt ist für die Nachbarschaft in der Skalitzer Straße eine Oase. Im Sommer versorgt er sie mit kühlen Getränken, während sie im Winter bei Kerzenschein dort gemütlich sitzen können. Der Späti bietet zudem Tabak, Snacks und die Annahme von …
Un quartier se bat pour ses spati: le loyer doublé par Hildburg Bruns Une démonstration a lieu dans un Kreuzberger Kiez pour exiger la préservation d'un tardif populaire. Le propriétaire aimerait doubler le loyer, ce qui serait inestimable pour les opérateurs de la petite boutique avec 50 mètres carrés. Sur le front et les zones mammaires des manifestants, «le marquage rapide - nous restons» peut être lu. Le marché Quicky est une oasis pour le quartier de Skalitzer Strasse. En été, il leur fournit des boissons fraîches, tandis qu'en hiver, ils peuvent s'asseoir confortablement à la chandelle. Le Späti propose également du tabac, des collations et l'acceptation de ... (Symbolbild/MB)

Un quartier se bat pour ses spati: location de location

par Hildburg Bruns

Une démonstration a lieu dans un quartier de Kreuzberg pour demander la préservation d'un spati populaire. Le propriétaire aimerait doubler le loyer, ce qui serait inestimable pour les opérateurs de la petite boutique avec 50 mètres carrés. Sur le front et les zones mammaires des manifestants, «le marquage rapide - nous restons» peut être lu.

Le marché rapide est une oasis pour le quartier sur Skalitzer Strasse. En été, il leur fournit des boissons fraîches, tandis qu'en hiver, ils peuvent s'asseoir confortablement à la chandelle. Le Späti propose également du tabac, des collations et l'acceptation des forfaits.

Après la vente de la maison, les opérateurs ont reçu la résiliation en octobre en mars. Mais ils ne sont pas disposés à y aller. Au lieu de cela, le propriétaire a présenté une nouvelle offre: le loyer doit passer de 17 à 43 euros par mètre carré, et un nouveau dépôt de 8 000 euros est dû. Ce montant semble inapproprié car un maximum de 30 euros par mètre carré est généralement requis dans la zone.

Les clients réguliers s'inquiètent de la situation. Jason Hölzel (57 ans), qui rencontre régulièrement des amis pour une bière après le travail dans le Späti et connaît le père du propriétaire actuel, souligne: "Ce n'est pas possible." Cook Nicole Hänsler (53 ans) craignait également qu'elle ne manque.

Les listes de signature ont été interprétées et sur les réseaux sociaux, il est protesté contre le déplacement du magasin. Malgré une demande du B.Z. Le propriétaire n'a pas encore réagi.

Sujets: Kiez, résiliation, loyer, späti