La baisse du règlement des pilules de 10% en trois ans: les données alarmantes révèlent la nouvelle tendance chez les jeunes femmes

Die Verordnungen der Pille zur Empfängnisverhütung bei jungen Frauen und Mädchen unter 22 Jahren sind innerhalb von drei Jahren um zehn Prozentpunkte zurückgegangen, wie eine AOK-Analyse zeigt. Trotzdem bleibt die Pille das am häufigsten verordnete Verhütungsmittel. Der Trend geht jedoch zu risikoärmeren Präparaten. Der Artikel beleuchtet die Hintergründe und mögliche alternative Verhütungsmethoden. Downloadbare Grafiken sind ebenfalls verfügbar. Lesen Sie mehr über diesen Rückgang der Pillen-Verordnungen in Berlin.
Les ordonnances de la pilule pour la contraception chez les jeunes femmes et les filles de moins de 22 ans ont diminué de dix points de pourcentage en trois ans, comme le montre une analyse AOK. Néanmoins, la pilule reste le contraceptif le plus couramment prescrit. Cependant, la tendance est vers des préparations moins risquées. L'article illumine les antécédents et les méthodes contraceptives alternatives possibles. Des graphiques téléchargeables sont également disponibles. En savoir plus sur cette baisse des réglementations des pilules à Berlin. (Symbolbild/MB)

La baisse du règlement des pilules de 10% en trois ans: les données alarmantes révèlent la nouvelle tendance chez les jeunes femmes

Faible proportion de jeunes femmes et filles dans les réglementations des pilules

La proportion de femmes et de filles de moins de 22 ans, à qui la pilule est prescrite, continue de diminuer, comme le montre une analyse des données de réglementation AOK GKV. En 2023, la pilule n'a été prescrite que dans un quart (25%) de ce groupe d'âge, ce qui correspond à une diminution de dix points de pourcentage en trois ans. Par rapport à l'année précédente 2022, la proportion a chuté de trois points de pourcentage. Les coûts des contraceptifs sur ordonnance sont couverts par la compagnie d'assurance maladie pour les assurés de moins de 22 ans, c'est pourquoi les tendances peuvent être bien documentées en fonction des données sur ordonnance.

Malgré le déclin, la pilule reste le contraceptif le plus couramment prescrit. Par rapport à d'autres méthodes de prescription telles que les spirales, les anneaux vaginaux et les plâtres hormonaux, la tendance se poursuit vers des préparations plus risquées. Les pilules combinées avec le lévonorgestrel progestatif, Norethisteron et Norgesttimat sont considérées comme moins risquées. Les pilleurs avec une combinaison d'ingrédients active d'éthinylestradiol avec la drospirénone, le desogestrel, le chlore a adinonaceta et les gestodes sont conformes à la situation de l'étude en termes de risque en ce qui concerne le développement de la thrombose de la veine des jambes et de l'embolisme pulmonaire en tant que contraceptif oral contenant de la corde.

dr. Eike Eymers, docteur dans le personnel de la médecine de l'AOK Federal Association, explique que les inconvénients et les risques des méthodes contraceptives hormonales sont discutées plus publiquement aujourd'hui. Les femmes se sentent mieux informées, à la fois via Internet et grâce à des conseils médicaux. Cela peut conduire à un comportement modifié et à une attitude plus critique envers la prise d'hormones et des décisions plus conscientes pour des préparations plus risquées. D'autres explications telles que l'importance croissante des méthodes de barrière telles que les préservatifs sont également concevables. La décision d'un contraceptif doit toujours être prise individuellement en tenant compte des maladies et des conditions de vie antérieures médicales.

Chez les femmes qui ne tolèrent pas les produits combinés, les produits alternatifs tels que la mini pilule, l'anneau vaginal ou la spirale peuvent être utilisés. La régulation de la mini pilule a légèrement augmenté de 1% en 2014 à trois pour cent en 2023. La mini pilule convient également aux femmes qui allaitent car elle ne contient pas d'œstrogènes. La proportion de contraceptifs intra-utérins (spirale hormonale) n'est faible que pour ceux de moins de 22 ans, bien qu'ils contiennent du lévonorgestrel et présentent donc un risque de thrombose plus faible. Le plâtre hormonal et l'anneau vaginal ne représentent que deux pour cent des réglementations, mais présentent un risque accru d'embolie et de thrombose.

L'analyse des données de régulation AOK montre clairement que les habitudes contraceptives des jeunes femmes et filles changent. Il reste à voir si cette tendance se poursuivra dans les années à venir.