L'avocat constitutionnel décrit le ministère fédéral de l'Intérieur contre le compact comme un abus de la loi de l'association
L'avocat constitutionnel décrit le ministère fédéral de l'Intérieur contre le compact comme un abus de la loi de l'association
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L'avocat constitutionnel exprime des doutes sur l'interdiction compacte
L'avocat David Werdermann de la Society for Freedom Rights (GFF) a critiqué le ministère fédéral de l'Intérieur contre le magazine "Compact". Werdermann, un avocat constitutionnel renommé, affirme que l'interdiction est probablement illégale et que le ministère de l'Intérieur abuse du droit des associations pour restreindre la liberté de la presse.
Werdermann, qui travaille comme coordinateur de projet chez GFF, décrit le ministère fédéral de la procédure de l'intérieur comme une mauvaise utilisation du droit de l'association. Il soutient qu'il s'agit en fait d'interdire un journal et non une association. À son avis, il serait plus approprié d'agir contre les contributions concrètes si cela contient un contenu illégal ou punissable. Il souligne qu'un moyen plus doux devrait être choisi afin de ne pas restreindre inutilement la liberté de la presse. Dans l'ensemble, il considère que l'interdiction est illégale.
Le GFF avait déjà fait appel à l'interdiction de la plate-forme Internet de gauche "Indymedia Leftunten" en 2017. Cependant, les objections et une plainte constitutionnelle ont été rejetées pour des raisons formelles.
Le Comité des droits fondamentaux et de la démocratie de Cologne fait également attention à l'interdiction du magazine extrémiste à droite "Compact". Le comité voit également une restriction de la liberté de la presse par le ministère fédéral de l'intérieur. Cela indique qu'en 2019, la Mesopotamia Verlag pro-kurde et la société de production et de vente musicale m'ont été bannies. Laura Wisser, membre du conseil d'administration du comité, souligne que le magazine "Compact" est considéré comme un médium haineux raciste, mais les dangers constitutionnels et démocratiques qui supposent que de telles mesures répressives ne sont pas autorisées.
Dans l'ensemble, l'interdiction du magazine "compact" soulève des questions importantes sur la liberté de la presse et l'utilisation correcte des médias extrémistes. Cela montre que le sujet de la liberté d'expression continue d'être controversé et qu'un équilibre entre la protection de la société contre la propagande extrémiste et la protection des droits fondamentaux démocratiques doivent être trouvés.
Source: le jour
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