Les policiers de Berlin menacent des sanctions dues dans le cas de requêtes de données inadéquates

Les policiers de Berlin menacent des sanctions dues dans le cas de requêtes de données inadéquates

Les données sur le système de processus informatique de la police sont stockées pour toutes les missions de Berlin. Dans le passé, il y a toujours eu des requêtes non autorisées des policiers, ce qui est une violation de la protection des données. La gestion administrative en a désormais assez et annonce des punitions difficiles dans le cas où un processus n'est pas correctement rempli.

Le patron de LKA Christian Steiof a récemment informé ses employés de cette mesure. Il s'est plaint que la police avait été critiquée à plusieurs reprises en raison de ces requêtes non autorisées et a donc mis le public au public. Au cours des dernières années seulement, 15 à 24 procédures d'enquête contre des policiers ont été engagées.

La base de données policière, appelée Poliks (Système de police pour information, communication et traitement), bûches en interne et permet ainsi une déclaration rétroactive. Il existe déjà de nombreuses réglementations, instructions commerciales et instructions sur les requêtes dans les poliks. Chaque policier doit même signer chaque année qu'il adhère à toutes les exigences. Mais évidemment, ce n'est pas suffisant.

Selon le boss LKA, les "ajouts" sont manquants, surtout en ce qui concerne "l'enquête". Chaque responsable doit documenter exactement qui et pourquoi les informations sur le processus sont nécessaires. Une entrée simple telle que le «traitement des processus» n'est pas suffisante, mais des informations plus détaillées doivent être fournies.

Les autorités ont maintenant décidé de punir systématiquement de telles violations. Lors de la première violation, il y a une référence, après quoi les sanctions seront encore plus strictes et plus élevées. Environ 20 000 employés de la police ont le droit de faire des questions à Polik.

Cette mesure a pour objectif d'assurer la protection des données et de prévenir les requêtes non autorisées. La police aimerait éviter d'être critiqué et de maintenir la confiance du public. Il reste à voir à quel point ces mesures punitives seront efficaces et si cela réduira le nombre de requêtes non autorisées.

Sujets: Berlin Police, Protection des données, LKA Berlin.

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