Hydrogène vert: de nouvelles façons d'importations durables en provenance du Sud mondial

Entdecken Sie die neue Importstrategie der Bundesregierung für grünen Wasserstoff, die bis 2030 einen Bedarf von 95 bis 130 TWh vorsieht. Eine Metastudie des Öko-Instituts beleuchtet die Nachhaltigkeitsdimensionen der Wasserstoffproduktion im Globalen Süden. Erfahren Sie mehr über lokale Partizipation, sozio-ökonomische Faktoren und bestehende Ansätze zur Förderung einer nachhaltigen Zusammenarbeit. Lesen Sie jetzt den ausführlichen Artikel!
Découvrez la nouvelle stratégie d'importation du gouvernement fédéral pour l'hydrogène vert, qui prévoit un besoin de 95 à 130 TWH d'ici 2030. Une méta-étude de l'éco-institut éclaire les dimensions de durabilité de la production d'hydrogène dans le Sud mondial. En savoir plus sur la participation locale, les facteurs socio-économiques et les approches existantes pour promouvoir une coopération durable. Lisez l'article détaillé maintenant! (Symbolbild/MB)

Hydrogène vert: de nouvelles façons d'importations durables en provenance du Sud mondial

Les défis de la production d'hydrogène: un regard sur la durabilité dans le Sud mondial

Le 24 juillet 2024, le gouvernement fédéral a présenté sa stratégie d'importation pour l'hydrogène dans le but d'atteindre l'énergie et les objectifs climatiques d'ici 2030. L'Allemagne devrait avoir besoin d'hydrogène chaque année entre 95 et 130 heures de térawatt (TWH), selon laquelle la majorité de ce besoin doit être couverte par les importations.

Un accent essentiel est sur l'hydrogène "vert", dont la production dépend des sources d'énergie renouvelables. La pertinence de cette stratégie d'importation est non seulement importante pour l'Allemagne elle-même, mais affecte également de nombreux pays du Sud mondial qui peuvent se produire en tant que fournisseurs potentiels. Dans ce contexte, il est crucial d'éclairer le large éventail de dimensions de durabilité qui vont au-delà de la simple définition de "vert".

Une méta-étude de l'éco-institut soutenue par la Fondation Amber examine exactement ces aspects importants. L'étude met l'accent sur neuf dimensions centrales de durabilité, qui doivent être observées pour la production et le transport de l'hydrogène. Il s'agit notamment de l'accès à l'eau et aux ressources foncières ainsi que la participation économique de la population locale. Ces facteurs sont essentiels pour garantir que la production d'hydrogène est non seulement écologique mais également socialement durable.

Un résultat remarquable de l'étude est l'indication que certaines questions socio-économiques telles que les droits d'utilisation des terres et l'inclusion active de groupes d'intérêt locaux sont souvent traités inadéquats. "La bonne nouvelle est que de nombreux instruments ont déjà été développés qui peuvent nous aider à intégrer ces dimensions", explique Susanne Krieger, assistante de recherche à l'éco-institut. À son avis, l'accent devrait être mis sur le dialogue et la coopération avec les acteurs locaux dans les pays de production, car cela constitue la base d'un partenariat réussi et durable à long terme.

L'importance de la méta-étude s'étend au-delà de la perspective purement technique. Il exige une repensation en termes de façon dont nous comprenons et mettant en œuvre la durabilité dans le contexte de la production d'hydrogène. Bien que l'Allemagne et d'autres nations stimulent leurs stratégies pour réduire les émissions de CO2, il est essentiel que les implications sociales et écologiques associées ne soient pas perdues.

En résumé, on peut dire que la production d'hydrogène dans le Sud mondial n'est pas seulement une question de production d'énergie, mais a également des conséquences profondes pour le développement des communautés locales. Ces résultats sont traités en détail dans le billet de blog de l'éco-institut et de la méta-étude. Les entreprises, les investisseurs et les décideurs sont invités à prendre en compte ces sujets lors de l'examen de l'hydrogène futur.

Pour plus d'informations ainsi qu'un examen plus approfondi des résultats et des points de départ de la méta-étude, Susanne Krieger intéressée peut vous contacter à s.kieger@oeko.de ou par téléphone au +49 761 45295-274

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