Le différend sur les licenciements frontaliers: Union et FDP sous pression sur les feux de circulation

Le différend sur les licenciements frontaliers: Union et FDP sous pression sur les feux de circulation

à Berlin est actuellement en cours de discussion sur le rejet des migrants aux frontières allemandes. Le syndicat et le FDP exigent que le gouvernement prenne une décision rapide sur ces allégations controversées, tandis que le SPD rencontre une résistance. Le patron de la CDU, Friedrich Merz, en particulier, a établi des délais clairs et s'attend à une explication contraignante sur le sujet mardi prochain. Les tensions politiques et les désaccords rendent la situation encore plus complexe.

La demande de refus est fortement soutenue par beaucoup dans l'Union et certains politiciens du FDP. Le député du parti FDP, Wolfgang Kubicki, a critiqué les Verts et a souligné que leur point de vue selon lequel les refus n'étaient pas légalement possibles étaient erronés. "Les Verts ne sont pas autorisés à bloquer ici", a ajouté le secrétaire général du FDP, Bijan Djir-Sarai, et a clairement indiqué que le blocage des Verts met en danger la sécurité du pays.

Tensions au sein de la coalition

La dynamique de la coalition interne entre le SPD, le FDP et les Verts est clairement montrée dans les déclarations des acteurs politiques. Kevin Kühnert, le secrétaire général du SPD, a déclaré que l’ultimatum de Merz ne devrait pas donner l’impression que les prochaines élections à Brandebourg augmentent de manière disproportionnée la pression politique. Il a clairement indiqué que les conversations sur la migration et la sécurité intérieure sont maintenues absolument sérieusement, indépendamment des stratégies électorales à court terme.

En outre, Daniela Behrens, le ministre du SPD de l'intérieur de Lower Saxony, s'est ouvert à l'idée de rejeter les migrants aux frontières, à condition que cela soit légalement autorisé. Behrens se concentre sur les examens juridiques et voit ces mesures un signal important pour les partenaires de l'UE. Cette dualité au sein du SPD montre qu'il existe des différences d'opinion sur la direction dans laquelle les négociations et les décisions politiques devraient réellement se dérouler.

En revanche, les verts, représentés par Irene Mihalic, ont évalué les refus à la frontière comme problématique. Ce point de vue est soutenu par des avocats tels que Constantin Hruschka, qui note que les demandes d'asile doivent être traitées dans certaines procédures et que les refus directs ne sont pas autorisés. L'ordonnance de Dublin indique clairement que les demandeurs d'asile ne peuvent être transférés que dans le pays responsable, qui devient problématique en cas de refus aux limites internes.

Mouvements dans le Bundestag

Au milieu de cette controverse politique, le chef du groupe parlementaire du SPD, Rolf Mützenich, a confirmé ses ambitions de concevoir un package global légalement sécurisé pour la migration avec le syndicat. Dans sa déclaration, il a fait référence au prochain discours de Bundestag sur le package de sécurité décidé par la Traffic Light Coalition, qui a été lancé par l'attaque au couteau à Solingen. Des mesures telles que le resserrement du droit des armes et l'expansion des compétences des autorités de sécurité sont à l'ordre du jour, tandis que la politique de migration est reconsidérée.

L'approche des refus et les défis juridiques associés sont donc au centre des différends politiques, par lesquels la sécurité et les obligations humanitaires doivent être soigneusement pesées. Les discussions à venir dans le Bundestag montreront la direction qui prendra la politique de migration en Allemagne. Bien que le débat gagne une netteté compte tenu des prochaines élections, l'espoir d'un dénominateur commun entre les parties battues est excellente.

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