Le tribunal administratif fédéral a interdit le magazine compact sur: le chef de groupe parlementaire de l'AFD exige la démission du ministre fédéral de l'Intérieur

Le tribunal administratif fédéral a interdit le magazine compact sur: le chef de groupe parlementaire de l'AFD exige la démission du ministre fédéral de l'Intérieur
Alice Weidel: Faeser doit maintenant prendre le chapeau
Le tribunal administratif fédéral a temporairement levé l'interdiction du magazine "Compact" par le ministre fédéral de l'Intérieur à la hâte. Cette décision a des conséquences de grande envergure pour la liberté de la presse et a conduit à des demandes de démission de Nancy Faeser. Le chef de groupe parlementaire de l'AFD dans le Bundestag allemand, Alice Weidel, voit l'attaque de la trimestre de Faeser contre la liberté de la liberté de la presse pour le bureau d'un «ministre de la Constitution».
La décision de la Cour administrative fédérale représente un renforcement important de la liberté de la presse. La Cour a clairement indiqué que l'interdiction du ministre fédéral de l'Intérieur n'était pas légale. Cette annulation provisoire continuera de pouvoir publier le magazine «Compact» jusqu'à ce que l'affaire soit finalement clarifiée.
Alice Weidel voit ce développement une raison claire de la démission de Nancy Faeser. En tant que «ministre de la Constitution», elle devrait protéger les droits fondamentaux et la liberté de la presse et ne pas essayer de le saper. Weidel demande donc à Faeser de démissionner ou d'être libéré.
La liberté de la presse est un droit fondamental fondamental qui est indispensable dans une démocratie. L'interdiction du magazine "Compact" par le ministre fédéral de l'intérieur est une attaque contre ce droit fondamental et signale un mépris dangereux pour la liberté d'expression. Il est important que de telles interventions ne soient pas tolérées dans la liberté de la presse et que les responsables soient tenus responsables.
Le cas d'interdire le magazine "Compact" fait partie d'un certain nombre d'expériences pour limiter la liberté d'expression. À une époque où le débat public devient de plus en plus houleux et des opinions différentes se rencontrent, il est crucial que la liberté de la presse reste et qu'une variété de voix puissent être entendues.
Il est maintenant de la responsabilité politique de répondre de manière appropriée à cette attaque contre la liberté de la presse. La démission de Nancy Faeser serait un premier pas dans la bonne direction pour restaurer la confiance dans la liberté d'expression et pour indiquer clairement que ces attaques ne sont pas tolérées.
Il reste à voir comment la situation politique se développera et s'il y aura d'autres conséquences. L'objectif devrait continuer de renforcer la liberté de la presse et la protection des droits fondamentaux afin de maintenir une société démocratique et pluraliste.