Le Sénat de Berlin rejette la criminalisation de la dernière génération et critique d'autres procureurs.

Le Sénat de Berlin rejette la criminalisation de la dernière génération et critique d'autres procureurs.
Le groupe de protestation climatique "Dernière génération" provoque une sensation à Berlin depuis un certain temps. Les militants bloquent régulièrement les rues et même en avril, a amené le slogan pour "paralyser" la capitale. Compte tenu de ces actions, on pourrait supposer qu'il s'agit d'une association criminelle. Mais selon une note interne du Sénat de Berlin, les experts le voient différemment.
Un examen juridique, qui a été commandé par le nouveau pouvoir judiciaire de Berlin, Felor Badenberg, arrive à la conclusion que la «dernière génération» ne peut pas être classée comme association pénale. Cependant, cette évaluation a été critiquée de certains procureurs qui accusent l'accusation de l'Association pénale.
L'argumentation du Sénat de Berlin est basée sur le fait qu'il doit y avoir certaines conditions de classification en tant qu'association pénale. Cela comprend, entre autres choses, une structure créée en permanence, des actes criminels d'une importance considérable et un objectif commun de commettre de tels crimes. Les experts du Sénat ne voient pas ces conditions préalables à la «dernière génération».
Les militants du groupe de protestation climatique sont particulièrement attachés à la protection du climat et utilisent leurs actions pour attirer l'attention sur l'urgence du sujet. Du point de vue du Sénat de Berlin, ce sont des formes légitimes d'expression de la manifestation, même si elles sont parfois ennuyeuses pour la population par des routes bloquées.
Les différences entre le Sénat de Berlin et certains procureurs sont apparemment dans l'évaluation des actions de la «dernière génération». Alors que le Sénat considère cela comme une expression de la manifestation politique légitime, certains procureurs y voient des actes criminels et augmentent les accusations correspondantes. Ces différences continueront désormais de fournir des discussions et des débats.
Il reste à voir comment la situation se développera. Le groupe de protestation sur le climat "Last Generation" continuera probablement d'attirer l'attention et les discussions avec ses actions. Cependant, la question de savoir si elle sera classée comme une association pénale à un moment donné n'est pas claire. La décision réside finalement aux autorités et au pouvoir judiciaire.