Berlin interdit la dernière génération à utiliser une maison financée par l'État pour son ingérence.
Berlin interdit la dernière génération à utiliser une maison financée par l'État pour son ingérence.
Berlin est toujours le hotspot des militants de la «dernière génération» qui sont connus pour leur interférence. Cependant, ils ont maintenant été pris dans un important centre de planification. La ville de Berlin a décidé que le groupe n'était plus la "maison du quartier E.V." peut utiliser à Charlottenburg-Wilmersdorf. L'Association de quartier avait fourni à plusieurs reprises les militants, bien qu'un accord stipule que les groupes politiques doivent consulter au préalable le bureau d'intégration. Le contexte exact expliquant pourquoi l'accord a été évité dans ce cas n'est pas encore clair. La maison a été largement rénovée par l'État de Berlin et coûte environ 217 000 euros.
La décision de la ville est une autre étape pour limiter les activités de la «dernière génération». Benjamin Jendro, porte-parole du syndicat de la police (PIB), a exprimé sa colère que de tels groupes aient été promus par l'État. Il a décrit les activités de la «dernière génération» comme des crimes qui discréditent les institutions démocratiques. En fait, le bureau du procureur de Berlin a engagé environ 2 500 procédures contre des membres du groupe fin septembre. En comparaison, il y a beaucoup moins de procédures contre les militants dans d'autres grandes villes allemandes. Le groupe "Rebellion d'extinction" est également actif à Berlin et a jusqu'à présent provoqué plus de 400 procédures contre ses membres.
Néanmoins, Berlin reste un hotspot pour la "dernière génération" et ses activités. Le gouvernement local devra toujours travailler pour trouver le traitement correct de ces groupes et s'assurer que les accords et les réglementations sont observés. Il reste à voir si cette mesure aidera réellement à restreindre les activités de la «dernière génération» et à assurer la sécurité publique.
Selon un rapport de www.t-online.de