L’AfD doit quitter le siège de son parti à Berlin en 2026 – le conflit s’intensifie !

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Le tribunal de grande instance de Berlin a décidé que l'AfD devait quitter ses bureaux à Berlin d'ici l'automne 2026.

Das Berliner Landgericht entschied, dass die AfD ihre Geschäftsstelle in Berlin bis Herbst 2026 räumen muss.
Le tribunal de grande instance de Berlin a décidé que l'AfD devait quitter ses bureaux à Berlin d'ici l'automne 2026.

L’AfD doit quitter le siège de son parti à Berlin en 2026 – le conflit s’intensifie !

Le tribunal de district de Berlin a décidé que l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) devait quitter son siège fédéral à l'automne 2026. Cette décision faisait suite à une action en justice intentée par le propriétaire de l'immeuble que l'AfD loue dans le district de Wittenau depuis 2022. Le tribunal a rejeté la résiliation immédiate du contrat de location parce que le propriétaire, une société propriétaire autrichienne, n'avait pas prévenu l'AfD avant d'exiger l'expulsion. Le différend entre l'AfD et le propriétaire tourne autour de violations présumées lors d'un parti électoral du 23 février 2025, au cours duquel l'AfD a remporté 20,8 pour cent des voix et est devenue le plus grand parti d'opposition au Bundestag.

Selon rbb24, le propriétaire a constaté une violation des conditions de location, mais le tribunal a jugé qu'il n'y avait aucune raison légale de résiliation sans préavis. Alors que l'AfD nie les accusations de rupture de contrat, le propriétaire Lukas Hufnagel se sent sous la pression du parti. Malgré son désir de parvenir à un règlement, les négociations de conciliation la semaine dernière ont échoué en raison de conditions telles qu'une augmentation du loyer et un déménagement anticipé.

Conséquences de l'arrêt et développements ultérieurs

L'AfD a proposé au propriétaire de déménager d'ici le 30 octobre 2026 et d'augmenter le loyer de 6 %, mais cette proposition a été rejetée par le propriétaire. Le propriétaire a également déclaré qu'il se sentait sous la pression des appels de menaces et des menaces de l'AfD. Ces allégations ont été fermement rejetées par l’AfD, qui considérait le différend comme purement économique.

Comme le rapporte n-tv, l'AfD reste pour l'instant en possession du siège de son parti, le tribunal n'ayant pas rendu de jugement définitif ce jour-là. Un recours contre la décision du tribunal régional peut être déposé auprès de la cour d'appel de Berlin, ce qui donne à l'AfD la possibilité d'intenter une action contre la décision.

Il reste à voir quelles mesures le propriétaire prendra ensuite et si l’AfD est réellement prête à entreprendre les changements nécessaires. L'évolution du conflit pourrait avoir des implications à la fois juridiques et politiques pour le parti, qui joue un rôle important dans le paysage politique actuel de l'Allemagne.

De plus amples informations peuvent être trouvées dans Spiegel.